Et si vous voulez approfondir le sujet, plongez dans le portrait du créateur de notre espion préféré, Ian Fleming, disponible dans le magazine GEEK en kiosque.

Avec le quatrième épisode de la série Arkham, un constat s’impose : ça devient difficile de trouver de nouveau jeux de mots pour illustrer les paragraphes d’une review. La bonne chose, c’est qu’il s’agit probablement de la seule épine que le chroniqueur sentira dans son pied en jouant à Arkham Knight. Et que celle-ci épargnera le joueur qui pourra s’adonner sans amertume à la nouvelle production du studio Rocksteady, qui vient une nouvelle fois rehausser les attentes de ce que le joueur peut espérer du label AAA.

Because the knight…

Inutile de vous replacer Arkham Knight dans la série Arkham. Si vous savez que le jeu signe le retour du studio Rocksteady sur la série, tant mieux, sinon, ce n’est pas ce qui perturbera votre découverte de son meilleur épisode. Oui, répondons tout de suite à la question brûlante sans autre préliminaire : Arkham Knight surpasse en assez de point les deux précédents épisodes du studio pour en oublier ses quelques faiblesses.

Révision du principe inhérent à la série : depuis Arkham Asylum - qui avait lancé la série et placé Rocksteady sur le devant de la scène - Batman a une nuit pour sauver Gotham des plans maléfiques d’un ennemi dont il devra découvrir au fur et à mesure de son aventure l’identité. Un concept qui plaisait dans le premier, dont la redite surprenait dans le second, fatiguait un peu dans le troisième avant que, dans Knight, il ne finisse par apparaître comme sa signature. Premier conseil du coup : ne paniquez pas durant les 10 minutes inaugurales du jeu qui vous exposeront la situation. Si vous avez troussé les trois premiers épisodes, cette sensation de redite n’est pas liée à un manque d’inspiration de Rocksteady, mais elle permet de poser les bases d’un exercice de style dont le studio se sort avec une fulgurance remarquable.

En terme de gameplay, à une différence majeure près et quelques mineures, le jeu demeure pourtant le même. Il hérite des mêmes mécaniques baston/infiltration/circulation dans un monde ouvert que ses prédécesseurs en changeant néanmoins l’équilibre des cartes. Et pas forcément à sa faveur. En mode normal, les séquences de combat millimétrées jusque-là sont beaucoup plus laxes. Il est du coup tout à fait possible de mal gérer une défense (qu’il fallait parfaitement maîtriser jusque-là), voire, d’enchaîner les défenses aveuglément pour se sortir des rencontres avec les thugs les plus primaires. Comme dans les précédents, l’arrivée des bras armés demandera une adaptation plus fine, mais l’exigence semble néanmoins amoindrie. Les séquences d’infiltration quant à elles n’ont pas été spécialement renouvelées, offrant un sentiment de déjà joué, voire de « médiocrité » selon le warboy que vous inviterez à rejoindre votre canapé.

Des défauts ? Pas vraiment, puisqu’à côté de ça, les mécaniques demeurent parfaites, les IA des thugs ont été largement revues à la hausse – ces bâtards sont vraiment réactifs maintenant, impossible de se refoutre dans une planque où vous seriez déjà passé lors d’une embuscade – et le jeu demeure extrêmement agréable à jouer. Fluide et impactant, le gameplay offre à cette nouvelle nuit à Gotham assez d’énergie pour ne pas lasser. Et pour laisser les quelques reproches qu’on pourrait lui faire à la porte de la ville. D’autant QUE…

Le masque et la plume

D’autant que… le scénario d’ Arkham Knight embarque le joueur dans un roller-coaster infernal qui slalome entre les climax, les effets de surprise ahurissants, les rencontres perturbantes et une écriture de Batman digne des meilleurs comics. Ainsi les références à certains grands moments de papier ont tout à fait leur place dans des citations qui réjouiront les fans et échapperont un peu plus au béotiens qui se contenteront de se laisser porter. Jusque-là, dans la série, le personnage de Batman/Bruce Wayne suivait une route assez classique, il était hanté par des enjeux déjà vus, déjà connus. Ici, les enjeux moraux s’affirment et présentent un héros fort peu aimable. Incapable de se remettre en question, en croisade contre un ennemi terroriste super bad ass, menteur, cachottier, lâche, en deux mots : un sale con. Un rôle aussi ingrat qu’il apporte une vraie profondeur au jeu, puisque l’empathie du joueur qui pencherait en faveur de l’homme chauve-souris en temps normal a plutôt tendance à prendre la tangente. Vers qui ? Pas les méchants en tout cas, à part certains (qui échappent à la DA un peu dégueulasse des premiers épisodes qui s’affirme ici plutôt sobre) qui retournent leurs vestes face à un ennemi commun. Le joueur, quant à lui, s’il ne lui reste plus aucun personnage vers qui se tourner pour trouver un peu de réconfort, aura toujours Gotham, personnage clé de la série, pour lui ouvrir ses tentacules de béton.

Plus vaste que dans les deux épisodes précédents (le premier se déroulait dans l'asile Arkham), offrant des milliers de points d’accroche pour la survoler et un bon nombre de missions secondaires variées pour l’écumer, la ville rongée par le déclin est toujours aussi généreuse et aimable. Les séquences de vol ont d’ailleurs été retravaillés pour que le joueur profite correctement de toutes les idées développées depuis deux épisodes et que l’expérience se fasse sans accro et serve plus qu’elle ne desserve l’exploration du superbe level design, toujours pris entre intérieurs anxiogènes et extérieurs contemplatifs – et particulièrement étendus sur la nouvelle génération de machines. Quatre zones pleines de néons et d’éléments vivants – de la pluie qui ne s’abat que sur un building par exemple - rapidement accessibles en vol, mais dont il faudra débloquer les accès par la route au fur et à mesure du jeu.

Par la route, oui, puisque ce n’est un mystère pour personne, dans Arkham Knight, Batman a enfin sa caisse.

A la terre comme au ciel

Teasée depuis les premières présentations du jeu, la Batmobile était annoncée comme le messie. L’ultime atout d’une saga qui avait besoin d’un petit coup de jeune. Ça sentait l’esbroufe. En vrai, ça défonce. Toutes les démos présentées avant la sortie du jeu sentaient le bling bling et l’épate facile. Avec son Whao Effect à fond les manettes, ce n’était effectivement pas trop difficile de vanter les mérites d’une machine dont la prise en main et le sens épique apparaissent en fait dès les premières minutes derrière le volant. Rocksteady ayant pris le parti de l’accessibilité, ne vous attendez pas à une simulation de drift dans les rues de Gotham. La Batmobile est ultra facile d’accès. Trop peut-être, mais cette accessibilité confirme aussi la générosité du studio. L’engin vire facilement de bord, est prétexte à des effets de mise en scène mythique – l’éjection/vol/reprise de volant, impossible de s’en lasser – défonce tout sur son passage, emmerdera les techniciens qui passeront peut-être justement, à côté de certains de ses aspects techniques quand entre en scène son MODE TANK ! Ouais, un mode tank sur-armé, upgradable au cours du jeu, qui permet à la machine de se déplacer comme une espèce de scorpion, offrant ainsi deux types de phase de jeux souvent mêlées. Course et baston en caisse, un bon combo dont Rocksteady abuse un peu, mais qui devient addictif une fois son principe acquis. Ainsi arrivent deux nouvelles couches de gameplay sur un layer cake déjà bien plus épais que la moyenne des autoproclamés AAA qui se trouvent relégués à de vulgaires programmes de seconde zone.

Bats tue à plate couture

Au final, la force de Rocksteady réside dans le pouvoir du studio à insuffler un esprit indé – dans le sens bourré d’idées très inspirées et exigeant – dans une machine de guerre commerciale. Arkham Knight offre ainsi, et à nouveau, une échelle à laquelle devraient se mesurer tous les développeurs désireux de sortir un jeu prétendant à la classification AAA. Pas de réel online mais des défis avec leaderboard bien suffisants pour passer des heures à se challenger mutuellement, une campagne ahurissante, une réalisation au poil qui ne souffre même pas d’un scénario à la traîne, bien au contraire ? Rocksteady détient une recette assez riche pour nourrir toutes les productions Warner alentours visiblement. En effet, après un Shadows of Mordor sans équivoque, le travail du studio sur la Batmobile semble avoir profité au développement de Mad Max, grosse sortie Warner de la rentrée. Impossible de l’assurer pour le moment, mais après leur supposée ultime incursion à Gotham, il serait peut-être temps que Rocksteady se remette à voler de ses propres ailes plutôt que de servir de corne d’abondance à un éditeur qui n’hésite pas à exploiter son savoir faire pour nourrir des équipes moins bien armées.

NOTE : 94/100

Si vous vous demandez ce qu'on mangera dans le futur, c'est dans le dernier Geek bien sûr!

Sources :

Twitter

uk.businessinsider.com

www.geeksaresexy.net

www.allthatsepic.com

En l’état, Ant-Man est une promesse à moitié tenue. Il est à la fois la preuve qu’un autre Marvel Cinematic Universe est possible, mais reste le brouillon d’un film d’Edgar Wright que l’on ne verra jamais. Après avoir créé, porté et rangé le costume de l’homme-fourmi il y a des décennies, le docteur Hank Pym (Michael Douglas) doit faire renaître Ant-Man pour contrer son protégé Darren Cross (Corey Stoll) et sa création, le Yellowjacket. L’homme jette son dévolu sur Scott Lang (Paul Rudd), un cambrioleur de génie. Pour James Gunn, réalisateur des Gardiens de la galaxie,Ant-Man est le meilleur film Marvel depuis Iron Man– excepté son film, question de partialité. Force est de constater que les deux œuvres partagent une même fraîcheur, un même sentiment de découverte. Voilà pourquoi Edgar Wright voulait en faire un épisode stand-alone, lorgnant plus vers une aventure de bras cassés que de super-héros. Mais le MCU, alias la loi du marché, a été plus fort. Et si l’esprit frondeur du réalisateur de Shaun of the Dead se retrouve au détour d’un personnage ou d’une idée, le yes-man Peyton Reed ne parvient jamais à l’incarner totalement. Ou à proposer une autre vision.

NOTE : 69 %

En salles le 14 juillet 2015

Distributeur : disney

Réalisateur : Peyton Reed

Acteurs : Paul Rudd, Michael Douglas, Evangeline Lilly, Corey Stoll…

Au sommaire de ce numéro spécial GIRL POWER : Émilia Clarke; un entretien avec Gail Simone; l'auteur des comics (Batgirl, Birds of Prey, Secret Six, Red Sonja....); Les 50 femmes qui font la culture GEEK; les coulisses de la dernière poésie visuelle de Production IG : Miss Hokusai; Life is Strange; Pierre Coffin, le réalisateur du film des minions et bien plus encore...

Films:

DC:

• Batman Vs Superman nous revient dans une bande-annonce absolument épique, où en plus des deux antagonistes du titre, on voit Lex Luthor, Alfred et Wonder Woman.

• Après des “centaines” d’images du film Suicide Squad, il se dévoile enfin dans une bande-annonce haletante. Avec en prime, une scénette du Joker qui ne fait déjà pas l’unanimité.

• DC a également annoncé 3 longs métrages d’animation :

- The Killing Joke, adaptation du run mythique d’Alan Moore et produit par Monsieur Bruce Timm.

- Bad Blood, qui verra arriver Batwoman dans l’univers « DC Animation ». On espère qu’elle gardera son orientation sexuelle même si l’animation cible majoritairement les plus jeunes.

- Justice League VS Titans

• Ben Affleck et Geoff Johns, scénariste ô combien genial de chez DC, devrait écrire le prochain film en solo de Batman. Et en plus de l’écrire, l’acteur doublement oscarisé (et fraîchement célibataire) jouera le rôle-titre et réalisera le film.

• Le film Green Lantern de 2020 a maintenant un nom Green Lantern Corps. De quoi mettre les fans en émoi.

Fox:

• Le trailer de Deadpool a fuité sur la toile. Malheureusement ce trailer n’était pas une version terminée. Il a d’ailleurs été retiré très rapidement. Mais pour ceux qui n’ont pas pu le voir, vous n’aurez pas longtemps à attendre puisque la version définitive de ce trailer sortira dans 3 semaines.

• On sort des films de super-héros pour vous montrer la bande-annonce du prochain Film d’Inarritu, The revenant. Un western avec Leo Dicaprio et Tom Hardy.

Disney :

• J.J Abrams et sa bande quant à eux sont venus sans trailer mais pas les mains vides non plus puisqu’ils nous proposent un making-of très cool, qui nous apprend des petites choses sur le film. La classe quoi ! Et pour ceux qui en veulent encore plus, il faudra attendre cet automne pour les prochaines images.

• Joe Quesada, dessinateur faisant aujourd’hui des grands pontes de chez Marvel, nous parle du prochain costume de spider-man au cinéma :"Il est incroyable. J'ai vu de nombreux aperçus de ce qui a été imaginé pour le costume. Je pense que certains de ses éléments vont mette une claque au public, jusqu'à ce qu'il se dise 'ah, c'est Marvel qui fait Spider-Man !'"

Legendary :

• Pacific Rim 2 débutera son tournage en novembre. Pacific Rim 2 est toujours prévu pour une sortie au 4 août 2017, et reprendra quelques années après la fin du premier film.

• L’autre trailer qui a fuité hors des portes du SDCC est celui de World Of Warcraft. On est là devant quelque chose de plus abouti. Il faudra pourtant attendre Novembre pour sa sortie officielle.

En vrac:

• Teaser « dansant » pour le dernier volet de la saga Hunger Games.

• Bande annonce pour l’horrifique Sinister 2

• Ron Perlman est revenu encore une fois à la charge pour Hellboy 3 et ça fait plaisir : «Si la notion d’honnêteté envers les fans est vraie alors nous devons au monde de finir Hellboy.Je ne veux pas d’un «Hellboy IV» ou V. Je veux juste finir cette foutue trilogie»

Séries:

• Commençons par une floppée de trailer pour les prochaines saisons de vos séries préférées...:

Vikings:

Doctor Who:

L'épisode de Noël pour Sherlock:

Heroes Reborn:

The Walking Dead:

• ....Et pour les séries qui vont arriver:

Fear of Walking Dead:

Legend of Tomorrow:

The Shannara Chronicles, adaptation des romans de Terry Brooks qui signe le retour de John Rhys Davies:

Ash Vs The Evil Dead:

La série animée Halo - Fall of Reach:

Vixen, une série animée dans l'univers d'Arrow et Flash pour la CW:

Outcast, l'adaptation d'un comics book de Robert Kirkman signée Legendary:

Les adaptations ont toujours le vent en poupe puisque c'est au tour du Roman de Philip K. Dick, le Maître du Haut Château (Man in the Sky Castle), d'être adapté en série. Cette uchronie, a pour question de base: "qu'est-ce qui se serait passé si les nazis et les japonais avaient gagné la Guerre?:

• Stephen Amell a présenté le nouveau costume d'Arrow pour la prochaine saison.

• Une vidéo plutôt marrante durant le panel HBO, les auditions desacteurs de Game of Thrones:

• Peter Facinelli (Twillight, Fastlane) rejoint le casting de Supergirl dans le rôle de Maxwell Lord. On annonce aussi Reactron et Livewire.
• Du coté de Flash, c'est Patty Spivot, Zoom mais surtout Jay Garrick qui feront leurs apparitions pour la saison 2. Pas d'acteur encore pour Zoom mais Garrick sera joué par Teddy Sears et Patty Spivot sera quant à elle incarnée par Shantel VanSanten.
• Des premières images pour la série Jessica Jones qui sortira à l'automne.

• C'est Lash, un inhumain assez récent dans l'univers Marvel, qui sera l'antagoniste principal de la saison 3 d'Agents of Shield.
• Quant à l'Agent Carter, elle devra affronter l'Empire Secret.

On se retrouve dans la matinée pour la partie comics du récap'.

Et on commence par DC:

• En collaboration avec IDW, DC nous sort un crossover avec les Teenage Mutant Ninja Turtles

• Robin sera mis à l'honneur dans deux séries: Batman & Robin Eternal et Robin War.

• Deux nouvelles séries également pour Superman : Coming of the Supermen et American Alien

• Flash et aquaman seront les prochains à avoir droit à une "Earth One"
• Geoff Johns prépare une mini-série : Justice League Gods and Men

• Grant Morrison démarre deux gammes de Graphic Novel: Multiversity Too et Batman Black & White
• L'event Convergence se poursuivra dans 3 séries: Superman: Loïs & Clark, Titan Hunt et Telos.

Vertigo:

• 12 nouvelles série sur le label adulte de DC:

La série Clean Room est écrite par Gail Simone dont vous pourrez retrouver une interview dans le prochain GEEK.

Marvel:

• Marvel profite d'avoir récupéré la licence Blade pour préparer le terrain avec une nouvelle série. On retrouvera donc le personnage, incarné par Wesley Snipes au cinéma, dans une aventure où il sera accompagné de sa fille.

• Deux nouvelles séries également pour le personnage star de la Maison des Idées, Spider-Man: Spidey, qui fera retourner Peter Parker au lycée et Spider-Man/Deadpool qui, comme son nom l'indique, sera un team-up des personnages aux costumes quasi-similaires.
• Du coté de Marvel/Star Wars, on aura droit à une série Chewbacca et un crossover entre les séries Satr Wars et Darth Vader: Vader Down.

Dark Horse:

• Joss Whedon retourne aux comics avec la mini-série Twist.

• Un comics Retour Vers le Futur va voir le jour chez IDW.

• Stan Lee et Grant Morrison, figures de proue des deux plus grosses maisons d'édition, ont chacun lancé une série numérique pour soutenir Worldreader et Medecins sans Frontières. Les séries sont disponibles sur Humble Bundle jusqu'au 23 juillet et ce sont les acheteurs qui choisissent le prix.

On se retrouve ce soir pour la partie Toys!!

AFX (Action Figure Xpress):

• Décapsuleur Predator

• Figurine Alien Minimates Retro 1979

• Avengers Age of Ultron Minimates

• Coupe papier Flash

• Tapis de souris Harley Quinn "Bombshell"

• Figurine Godzilla version rétro

• Figurine Supergirl Justice League Unlimited

Bandai America:

• Power Ranger Blanc

Bluefin/Tamashii Nations

• Figurine Egg Darth Vader

• Figurine Iron Man Mark III magnétique

Cinequest.com

• Supernatural Chevrolet Impala

Diamond Comics:

• Figurine Batman black & white par Jim Lee

• Figurine femme fatale Harley Quinn

• Roulette à pizza logo Ghostbusters

• Peluche Krypto

• Figurine Heisenberg

• Kevin Smith Minimates

• Ant-Man Minimates

Diamond Select Toys:

• Le Pingouin "Gotham"

• Buste Batman Bruce Timm

• Buste Catwoman Bruce Timm

Entertainment Earth

• Chaise à roulette cape de Batman

• Figurine The Legend of Zelda Skyward Sword

• Figurines The Twilght Zone

• Figurine Mike Tyson Mysteries

Hasbro:

• My little pony - Pimkie Pie

• Dr Strange Book

Kid Robot:

• MegaMan

• BreakMan

Kotobukiya:

• Figurine Alfred Pennyworth

• Figurines Deadpool et Tête-pool

• Figurine Red She-Hulk

Matttel:

• Thomas et ses amis version DC

• Figurine Egon

• Figurines He-Man

• Figurines Batman Vs Superman

Moebius Models:

• Krypto

Mondo:

• Figurine TMNT Retro Style

• Poster Ant-Man

• Figurines Planète des Singes

• Vendredi 13

Quantum Mechanix:

• Le bonnet de Jayne dans Firefly

Square Enix:

• Figurine Batman

The Loyal Subjects:

• Blue Ranger

• Red Ranger

• Black TMNT

Titan Entertainment:

• Tenth Doctor

• Eleventh Doctor Fez

• Sherlock

Toys 'R' Us:

• Jabba Rancor's Pit

Gecco:

• Raiden Ground Zero

Lego:

Funko

• Figurine Jaws

• Figurine Pop!

Bien qu'elle soit disponible en intégralité depuis plus d'un mois sur Netflix France, il était important de revenir sur la saison 1 de Sense8 ! Rien que pour contrebalancer les premières critiques publiées dans la presse, prématurées et négatives, après seulement trois épisodes. Sans entrer dans le débat « film de douze heures ou série de 12 épisodes », il faut comprendre que Sense8est une œuvre à part, hybride et transversale, qui ne dévoile pas tout de suite sa vraie nature et se déploie sur la longueur telle une symphonie. Au fur et à mesure que les personnages (les fameux « sensates », d'où le jeu de mots du tire) se connectent à travers le monde, les genres, cultures et identités se mélangent, pour aboutir, par la grâce du montage, à une empathie totale du spectateur. Lors de son mouvement final, Sense8 donne tout simplement le meilleur, l'aboutissement de la carrière des Wachowski.

94 %

Diffuseur : Netflix (USA et France)

Créateur : les Wachowski et J. Michael Straczynski

Acteurs : Tuppence Middleton, Aml Ameen, Bae Doona, Jamie Clayton, Tina Desai, Max Riemelt

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Retrouvez l'article "Maman, c'est quoi une badass ?" dans le magazine GEEK, disponibles en kiosques et sur tous les écrans.

La vie éternelle ? Le milliardaire new-yorkais Damian Hale (Ben Kingsley) n'y avait jamais pensé. Jusqu'au jour où, atteint d'une maladie incurable, il se voit proposer une opération révolutionnaire : le transfert de son esprit dans un corps de substitution, une coquille vide. Le voici donc réincarné en Ryan Reynolds, prêt à profiter de cette seconde jeunesse. Mais il est bientôt assailli de visions… et comprend que son nouveau corps n'est peut-être pas si vide que ça. Renaissances aurait pu tout aussi bien sortir aujourd'hui que dans les années 1980-90 ou 2000. Et c'est tant mieux. Après les déconvenues Les Immortels et Blanche-Neige, Tarsem Singh met de côté ses expérimentations visuelles (il faut revoir The Fall !) pour emballer une série B sans prétention, presque anachronique en ces temps de méga blockbusters. Et Ryan Reynolds imite très bien Ben Kingsley.

67 %

En salles le 29 juillet

Distributeur : SND

Réalisateur : Tarsem Singh

Acteurs : Ryan Reynolds, Ben Kingsley, Natalie Martinez

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Cosplayeuse d'ouverture Judy Helsing

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