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Channel: Geek Tribes
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​REVIEW / The Order : 1886

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J’aime prendre en main un jeu qui me propose d’apprendre ses règles et le maniement de mon avatar pour pouvoir en disposer à ma guise par la suite. J’aime découvrir un terrain de jeu à mon rythme. J’aime aussi quand on me propose de faire des choses intéressantes dans un jeu, même quand elles n’ont pas d’incidence directe sur celui-ci. Pendant que je suis en train d’écrire ce texte, j’ai une partie de The Order: 1886 en route. Au son, je dirais que des gens se tirent dessus. A priori, le héros, Grayson Galahad – un mélange de Kevin Kline et Clive Owen - est planqué derrière une porte et personne ne vient le faire chier. Mes amis ont beau tirer sur mes ennemis, ils ne viendront pas à bout de la horde de rebelles qui nous attaquent sans mon assistance. Pourtant, aucun de ses rebelles ne vient s’en prendre à mon avatar inanimé. Il faudrait que j’intervienne, mais pourquoi finalement ? Pour que le jeu continue de se dérouler en faisant mine d’avoir besoin de moi ?

Un ordre, et c’est tout

Pourquoi ? Pourquoi est-ce que dans The Order, quand je marche quelque part et que je veux me mettre en position d’infiltration en appuyant sur ROND, je ne peux pas le faire ? Pourquoi dans des phases d’infiltration, quand j’aimerais accélérer mon pas, je ne peux pas le faire ? Pourquoi je ne peux pas courir quand je veux ? Pourquoi, quand je décide de dégainer à certains endroits de The Order alors que je pourrais m’attendre à ce que débarquent des ennemis, je ne peux pas le faire ? Pourquoi est-ce que dès que j’approche d’ennemis, je dégaine, me coupant ainsi toutes formes de surprises ou de suspens ? Pourquoi je peux sauter par-dessus certaines barrières et pas d’autres ? Pourquoi je ne peux pas me mettre à couvert quand je porte une torche ? Sinon, pourquoi pas, mais alors pourquoi si je préfère ne pas avoir la torche et pouvoir me mettre à couvert en utilisant ma mitraillette, je ne peux pas la poser parce que finalement elle ne sert pas à grand chose ? Pourquoi je peux ramasser tant de trucs dans The Order pour simplement les contempler alors que même les collectionner dans un inventaire me gratifierait plus ? Pourquoi est-ce que parfois, ensuite, on me propose de les lancer mais la console le fait à ma place ? Pourquoi, enfin, je peux retourner certains objets que je regarde, alors que d’autres, non ? Pourquoi je ne peux pas garder toutes les notes que je trouve pour me faire un dossier et savoir à peu près lesquelles il me manque pour débloquer le succès adéquat ? Pourquoi est-ce que ce putain de jeu refuse de me lâcher la main ?

En gros, ne faites pas jouer un enfant de 5 ans à The Order sous peine d’être assailli de questions. Tant de questions qui resteront sans réponse à la fin d’une partie, qui ressemblera probablement à celles de tous les joueurs qui auront acheté The Order, tant dans la manière immuable d’aborder ses tableaux, que dans son rythme dicté par des QTE et actions contextuelles sans aucun sens ni conséquence.

1886 nuances de pas grand-chose

The Order partait pourtant pas mal : un univers steampunk léché, un scénario louchant du côté d’Alan Moore, quelques armes chouettes et un travail graphique sidérant. Sur lequel décide de beaucoup trop se reposer Ready at Dawn, le studio derrière la nouvelle exclu de la PS4, qui s’est peut-être laissé bouffer par trop de directives de Sony pour pouvoir sortir son premier vrai jeu personnel.

J’aimerais trouver dans l’assistance quelqu’un qui puisse me défendre l’intérêt d’un gameplay qui commence à être estampillé un peu trop lourdement du sceau de l’éditeur. Que Quantic Dream s’empêtre dans ses tentatives de prototypes de films vidéoludiques, pourquoi pas. Que ces échecs relatifs débordent sur des jeux qui n’en auraient pas besoin sous prétexte d’une unité éditoriale, ça peut devenir agaçant.

The Order avait tout pour offrir à la PS4 son Assassin’s Creed– critiquable à bien des égards, mais pas du point de vue de la liberté relative qu’il offre au joueur. Il a fallu qu’il devienne un hybride entre une production Quantic Dream et Naughty Dogs, et pas dans les bons côtés de ces dernières.

D’une pauvreté de gameplay globale, offrant des partis pris aussi questionnable que vains, enchaînant séquences d’action et d’infiltration hyper dirigistes guidés par des QTE creux, l’univers pourtant alléchant développé par Ready at Dawn aurait mérité meilleur traitement. On peut comprendre le choix de rendre une grosse production accessible. Mais quel joueur lambda se laissera alors prendre dans un univers et un scénario tellement ancré dans un sous-genre de la fantasy à ce point affirmé ? Difficile à dire, mais un peu trop facile à critiquer malheureusement. On l’avait écrit dans le magazine, on le répète ici : passe ton chemin joueur, Bloodborne sort dans 1 mois. Attends le patiemment, joue à Evolve en attendant. Et tu seras peut-être récompensé d’avoir par la même occasion attendu une suite potentielle à The Order : 1886 – le titre du jeu promet en tout cas certains développements – pour profiter de manière plus gratifiante de son univers somptueux.

Parce que plusieurs dizaines de minutes plus tard, personne n’est mort, ça continue de se tirer dessus, et Sire Galahad est probablement encore planqué derrière sa porte sans que personne soit venu le faire chier.

GOOD COPS SEZ : En étant magnanime, on verra dans The Order : 1886 une belle proposition qui n’attend qu’une suite pour offrir au joueur ce qui lui a manqué dans ce premier épisode test : beaucoup de liberté. NOTE : 64/100

BAD COP SEZ : Sa vanité, son manque de modestie, son vide intersidéral, son aspect paternaliste et dirigiste, et enfin et surtout son manque flagrant de générosité ne pardonnent pas la superbe tenue graphique et l’ambiance réussie du jeu. NOTE : 38/100


Des bugs et des GIF !

Monday/Cosplay, A for Alan Moore!

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N'oubliez pas de lire l'entretien fleuve avec le maître, dans les pages du dernier numéro de GEEK.

Gagnez votre Steelbook du film "Equalizer"

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Les concours sont de retour chez Geek ! Mais pour gagner, il faudra être rapide !

Pour ça, rien de plus simple répondez à ces deux questions :

- le nom de l'acteur principal est l'homonyme de la capitale de quel pays ?

- La dernière fois que Denzel Washington a mis une ville à feu et à sang pour une fille, c'était dans quel film ?

Des Steelbook (Blu-Ray DVD copie Digital) "Equalizer" seront offerts aux 4 premières personnes qui nous enverront les réponses à l'adresse : concours@geeklemag.com.

Bonne chance à tous!

I don't GIF a shit!!

Monday/Cosplay rend hommage à Leonard Nimoy

Les gagnants du Steelbook "Equalizer"

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Pour vous remercier de votre participation, Denzel Washington viendra personnellement réparer la fuite dans votre cuisine.

Voici ce qu'il fallait répondre

- le nom de l'acteur principal est l'homonyme de la capitale de quel pays ? Les États Unis

- La dernière fois que Denzel Washington a mis une ville à feu et à sang pour une fille, c'était dans quel film ? Man on Fire

Mais sans plus attendre voici les noms des gagnants:

- Sylvain Waxin

- Chase Doh

- Dom Dumber

- Thibaud Villanova

Nous prendrons contact avec les gagnants pour la distribution des lots.

Vous avez été nombreux à participer, encore merci, et à bientôt pour un autre concours. Stay tuned !

Fin de la première saison de Marvel's Agent Carter : Le bilan.

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Dans notre dernier numéro, toujours en kiosque, on vous faisait une review du début de saison :

Breaking News : Une femme chez Marvel !

C'est peu dire qu'on l'attendait, que le studio daigne enfin mettre une (super-)héroïne en tête d'affiche, après trois Iron-Man, deux Captain America, etc. Mais attention, pas au cinéma, pas encore, faut pas déconner ! En attendant la future Captain Marvel et un hypothétique film Black Widow sur grand écran, l'Agent Carter squatte la petite lucarne pour des aventures qui font suite au First Avenger et fait mieux que les Agents du S.H.I.E.L.D.

En effet, la série semble plus légitime et moins poussive, et surtout s'offre un sacré personnage principal, entre un Indiana Jones au féminin et une Sydney Bristow (Alias) avant l'heure. Reste que tout semble un peu vain, parfois cheap, face au poids (lourd) du Marvel Cinematic Universe. "

La saison s'est finie la semaine dernière est le premier constat est troublant : l'objectif de la série n'est pas rempli. Marvel souhaitait faire patienter les fans d'Agents of S.H.I.E.L.D entre le cliffhanger (de dingue) de mi-saison est la reprise près de 3 mois après. Et après ces huit épisodes, on est finalement plus intéressé par les aventures de l'Agent Carter que par celles de l'équipe de Coulson.

Pour ce qui est d'Agent Carter, on est encore loin de ce qui nous est proposé au cinéma mais elle relève le niveau des séries super-héroïque en attendant les Marvel/Netflix. Des personnages à la psychologie fouillé, du fan service, bien amené et un méchant encore une fois assez cheap, mais qui, par sa présence donne pas mal d'indices quant au prochain film du Capitaine. De plus l'absence d'épisodes filler, nous permet de rester toujours dans l'action.

En conclusion, cette série n'est pas la panacée mais nous laisse entrevoir de bonnes chose pour ce qui arrive ensuite, à commencer par Daredevil. Et puis le traitement accordé par Marvel à un personnage féminin en tant que personnage principal nous promet également du bon pour Captain Marvel.



Long GIFS and Prosper

Monday/Cosplay : the Legend of Zelda

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Pour finir, on n'a pas résisté à l'envie de vous remettre le teaser du fan film reprenant la bataille finale d'Ocarina of Time.

REVIEW / Resident Evil : Des Zombies et des hommes

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Resident Evil, RE pour les intimes, véritable pilier du genre horrifique sur nos consoles, est sur toutes les lèvres car il est revenu en ce début d'année avec, non pas un, mais deux jeux. Et pas seulement, puisque la série, adepte du cross média, revient également avec un livre, écrit par les frenchies de chez Third éditions.

Je suis un grand fan de la saga depuis longtemps, donc quand j'ai entendu parler qu'un bouquin/encyclopédie allait sortir, j'étais comme un fou !

Enfin, les questions que tout le monde se pose allaient trouver des réponses...

Quelle est vraiment l'histoire de Resident Evil ? Shinji Mikami était-il vraiment horrible avec ses équipes de création ? Pourquoi la scène d'intro de RE 1 est-elle si kitsch ? Et surtout pourquoi, LA série qui a donné ses lettres de noblesse au survival horror et révolutionné le monde du Jeu Vidéo tout entier, est devenu au fil du temps un divertissement bourré d'action et totalement insipide, sans aucune forme de frisson ?

Attention cher fan, ta soif va être étanchée...

Les Zombies n'ont jamais été aussi glamour que depuis ces dernières années, en grande partie grâce à l'incontournable série d'AMC, The Walking Dead. Mais depuis 1996, les mecs de Capcom militent pour la réintroduction de l'espèce dans notre imaginaire collectif.

Et la mission est accomplie, car aujourd'hui notre ami le mort-vivant à plus la côte que les vampires et Resident Evil, petit jeu sans prétention au départ, en est à son sixième opus canonique (pour plus de 30 en tout).

Et c'est ces 20 ans d'existence que nous font revivre les auteurs, Nicolas Courcier, Mehdi El Kanafi et Bruno Provezza.

À l'inverse du jeu, en ouvrant le livre, vous n'allez pas pénétrer dans un monde d'horreur mais dans une mine d'informations et d'anecdotes. Le travail effectué en amont est faramineux et les chapitres sont énormément documentés.

On commence par un rapide historique de la vie de Shinji Mikami (créateur de la saga) et de la création de Capcom. Point très important tant l'évolution de celui-ci est similaire à celle de l'éditeur, plus intéressé par l'argent que par la satisfaction des joueurs.

La super trouvaille est l'angle avec lequel les auteurs traitent le sujet . Chaque jeu est analysé, au fil des chapitres, sous la lumière d'un élément différent (gameplay, influences, création) ce qui permet de distiller des anecdotes tout au long de la lecture, si bien qu'on apprend des choses jusqu'à la dernière page.

De plus, ils ne prennent pas parti pour l'une ou l'autre des "ère Resident Evil". Le lecteur peut donc se faire librement sa propre opinion sur les RE nouvelles générations.

Autre point non négligeable, il contient le scénario complet de la série, ce qui fera plaisir aux fans de chronologie car avec autant d'adaptations, suivre la trame générale n'est pas chose facile.

Finissons maintenant par LE point négatif. Il n'y en a qu'un et il n'enlève rien à la qualité de l'ouvrage mais il est de taille. Vous ne trouverez dans ses pages aucune image ... Pas de dessin préparatoire, ni de photo, ni même de capture d'écran ce qui est pourtant la norme dans ce type d'objet.

En conclusion, on est devant un très bel objet, qui aurait mérité quelques photos pour être parfait. Il plaira sans nul doute aux fans et saura attirer les amateurs de morts-vivants et de survival horror grâce notamment à ses chapitres sur les zombies au Cinéma et sur l'influence de Resident Evil sur les autres jeux.

REVIEW - Resident Evil : Des Zombies et des hommes

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Resident Evil, RE pour les intimes, véritable pilier du genre horrifique sur nos consoles, est sur toutes les lèvres car il est revenu en ce début d'année avec, non pas un, mais deux jeux. Et pas seulement, puisque la série, adepte du cross média, revient également avec un livre, écrit par les frenchies de chez Third éditions.

Je suis un grand fan de la saga depuis longtemps, donc quand j'ai entendu parler qu'un bouquin/encyclopédie allait sortir, j'étais comme un fou !

Enfin, les questions que tout le monde se pose allaient trouver des réponses...

Quelle est vraiment l'histoire de Resident Evil ? Shinji Mikami était-il vraiment horrible avec ses équipes de création ? Pourquoi la scène d'intro de RE 1 est-elle si kitsch ? Et surtout pourquoi, LA série qui a donné ses lettres de noblesse au survival horror et révolutionné le monde du Jeu Vidéo tout entier, est devenu au fil du temps un divertissement bourré d'action et totalement insipide, sans aucune forme de frisson ?

Attention cher fan, ta soif va être étanchée...

Les Zombies n'ont jamais été aussi glamour que depuis ces dernières années, en grande partie grâce à l'incontournable série d'AMC, The Walking Dead. Mais depuis 1996, les mecs de Capcom militent pour la réintroduction de l'espèce dans notre imaginaire collectif.

Et la mission est accomplie, car aujourd'hui notre ami le mort-vivant à plus la côte que les vampires et Resident Evil, petit jeu sans prétention au départ, en est à son sixième opus canonique (pour plus de 30 en tout).

Et c'est ces 20 ans d'existence que nous font revivre les auteurs, Nicolas Courcier, Mehdi El Kanafi et Bruno Provezza.

À l'inverse du jeu, en ouvrant le livre, vous n'allez pas pénétrer dans un monde d'horreur mais dans une mine d'informations et d'anecdotes. Le travail effectué en amont est faramineux et les chapitres sont énormément documentés.

On commence par un rapide historique de la vie de Shinji Mikami (créateur de la saga) et de la création de Capcom. Point très important tant l'évolution de celui-ci est similaire à celle de l'éditeur, plus intéressé par l'argent que par la satisfaction des joueurs.

La super trouvaille est l'angle avec lequel les auteurs traitent le sujet . Chaque jeu est analysé, au fil des chapitres, sous la lumière d'un élément différent (gameplay, influences, création) ce qui permet de distiller des anecdotes tout au long de la lecture, si bien qu'on apprend des choses jusqu'à la dernière page.

De plus, ils ne prennent pas parti pour l'une ou l'autre des "ère Resident Evil". Le lecteur peut donc se faire librement sa propre opinion sur les RE nouvelles générations.

Autre point non négligeable, il contient le scénario complet de la série, ce qui fera plaisir aux fans de chronologie car avec autant d'adaptations, suivre la trame générale n'est pas chose facile.

Finissons maintenant par LE point négatif. Il n'y en a qu'un et il n'enlève rien à la qualité de l'ouvrage mais il est de taille. Vous ne trouverez dans ses pages aucune image ... Pas de dessin préparatoire, ni de photo, ni même de capture d'écran ce qui est pourtant la norme dans ce type d'objet.

En conclusion, on est devant un très bel objet, qui aurait mérité quelques photos pour être parfait. Il plaira sans nul doute aux fans et saura attirer les amateurs de morts-vivants et de survival horror grâce notamment à ses chapitres sur les zombies au Cinéma et sur l'influence de Resident Evil sur les autres jeux.

GIFS sooooo sad....

Monday Japan Expo Sud 2015

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Merci à HD Khoi pour ses photos.

REVIEW / Masiko

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Florent Maudoux (que nous avions interviewé dans notre premier numéro) est un auteur prolifique qui a su créer tout un univers autour de son oeuvre phare Freak's Squeele, qui raconte la vie d'un groupe d'étudiant dans une école de super héros. Avec Masiko il n'en est donc pas à son premier spin-off, puisqu'on lui doit également Funérailles et Rouge qui reviennent respectivement sur la jeunesse de Pretorius et de Xiong Mao.

Masiko, personnage énigmatique, est la mère de Xiong Mao et bien qu'elle soit importante dans l'histoire, elle n'est jamais apparu dans Freak's Squeele. Il a fallu attendre le premier tome de DoggyBags (Recueil de BD courtes des auteurs du Label 619) pour qu'elle devienne la vedette.

Le personnage ayant eu un énorme succès, elle a droit aujourd'hui à son volume relié qui comprend les deux histoires publiées dans DoggyBags et une histoire inédite.

Trois histoires distinctes donc mais habillement liées entre elles et au reste de l'univers de Florent Maudoux. On retrouve tout ce qu'on aime dans ses histoires, de la baston, des pouvoirs, du mystères, des femmes fortes et d'une beauté renversante...

Côté dessin, rien à redire, les dessins sont toujours aussi beau. Le trait est le même que pour Freak' Squeele, seul l'utilisation de couleur est plus importante. Mention spéciale pour la troisième histoire qui présente des illustrations pleine page de toute beauté.

Ce recueil est parfait pour les fans de FS ou de ses différents spin-off. Il intéressera tout particulièrement ceux qui veulent en savoir plus sur Masiko, personnage le plus mystérieux de l'univers. Les lecteurs réguliers de DoggyBags se sentiront peut-être frustrés mais la dernière histoire vaut à elle seule l'achat du livre.


Best GIFS 2015

Monday / Cosplay : Street Fighter

GEEK VOL2N02 est disponible !

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Au sommaire : Les super-héros avec une interview exclusive de Thor lui-même (Chris Hemsworth, sur Midgard); le portrait de Steve Ditko, le créateur de Spider-Man (vous pensiez que c'était Stan Lee ? venez faire votre propre opinion); Rocksteady qui en finit avec sa trilogie sur le justicier de Gotham; Jean-François Delfraissy contre Ebola, Jack l'éventreur, DARPA et bien plus encore ...

Baz-GIFS-ga!!

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Petit jeu amusant : Saurez vous deviner son âge ?

Monday/Cosplay : Avengers

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